jeudi 26 avril 2007

une fée clochette en souffrance

Plaine alluviale du Doubs, entre Montlebon, Morteau et Grand-Combe-Châteleu, le 22 avril 2007. Plombée par le soleil, la mer des cardamines et fritillaires se laisse photographier sans résistance par un être sans bottes qui se couche dans l'herbe sèche pour choisir ses angles, le devoir électoral accompli... Le premier plan est saisissant pour photographier les notables parmi les bâtisses, ou encore la diligence du val.

Estamos el 22 april de 2007, cerca de la ciudad de Morteau y de los pueblos de Montlebon y Grand-Combe-Châteleu, en el corazón de la llana aluvial del alto rio Doubs. Bajo un sol de plomo, pude ir alla sin botas y acostarme en la hierba demasiado seca para elegir las vistas, despues de elegir un presidente para mi pais (pero una lata que no puedo elegir solo :-p). Los berros de prado (Cardamine pratensis) dibujan un mar rosado adelante los jefes del paisaje del lugar : las iglesias de Morteau y Montlebon, la fabrica de salchichas, la casa grande de "Espace Morteau" o el tren llegando de Besançon ...


La "cocotte" n' a, elle, pas la frite hilare, et courbe sa tête de clochette ; les pétales passent et ne repasseront pas.

"Tablero de damas" o "cabeza de serpiente" (Fritillaria meleagris) son los nombres castellanos que encuentre a buscar en Internet para esta flor poco comuna que suele crecer en los pastos inundados y queda abundante aqui. Pero parece triste la flor, y baja su antigua campana de pétalos muertos...


Parmi les ennemis des fritillaires, les drains, qui allient leur force au soleil. Certains sont tout neufs, avec des airs de clandestins pour la loi sur l'eau.

El avenamiento es enemigo del tablero de dama, porque hace el terreno mas seco... Podemos ver trabajos recién hechos, a lo mejor prohibidos por la ley preservando las humedales.



Enfin, la fumure est rarement bon signe pour la diversité d'une prairie, même si là, la pratique est sans doute ancienne ! Courage...

Igual es malo el uso de estiércol para la diversitad de plantas del prado... Valor ! y hasta luego...

6 commentaires:

{beige cannelle} a dit…

il semble effectivement qu'il y en avait plus que ça quand on était petits, non ? Les "cocottes", c'est bien la même chose que les fritilaires ?

Anonyme a dit…

Oui, si je ne me trompe pas, cocotte était le nom beugnon de notre pintade, qui en bon oiseau prend deux ailes... Sinon, les photos sont un peu trompeuses, d'autant que les fritillaires sont en fin de parcours ; il reste encore vraiment des milliers de pieds. Ceci dit, dans la plupart des prés concernés, on voit vraiment l'influence des drains, les grosses concentrations de fritillaires n'étant que sur leur bordure immédiate. Et Papa et Jean-Paul Lucas défendent vivement la thèse du "mais où sont les cocottes d'antan", dont je ne sais la part de vrai et la part de fable nostalgique.

Dupdup a dit…

Un drain sur la photo de droite ? Tu es sûr qu'il ne s'agit pas d'une piste de bob sleigh ?

serenense a dit…

Hola Bernard... C'est vrai qu'y avait un petit côté bob... (Cowboys Fringants, à polyvalente in break syndical)

Anonyme a dit…

Il y en a encore, mais c'est vrai que quand j'étais jeune (je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ... ) il semblait y en avoir davantage, lorsque j'allais sur les bancs de l'école à montlebon. Le paternel a sans doute raison. Que de nostalgie ! Merci pour ces jolies photos !

Anonyme a dit…

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